• Consultez votre médecin ou votre pharmacien
    AVANT de prendre XANAX si :
    Vous avez une maladie des poumons, du foie ou
    du rein.
    Vous avez des antécédents d’alcoolisme ou de
    toxicomanie.
     
     

    Respecter la durée de prescription !

    Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, le 7 septembre 2001
    Respecter la durée de prescription Elle doit être aussi brève que possible, notamment de 8 à 12 semaines dans les troubles anxieux, réduction de posologie comprise, de 2 à 5 jours en cas d’insomnie occasionnelle et 2 à 3 semaines en cas d’insomnie  transitoire (excepté pour fluni trazépam et triazolam, dont la durée de prescription ne doit pas excéder 14 jours).
    ...

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  • baclofène (liorésal)

    L’arrêt du baclofène peut être associée à un syndrome de sevrage qui ressemble au sevrage aux benzodiazépines et au sevrage d’alcool . Les symptômes de sevrage sont plus probables si le baclofène est utilisé pour de longues périodes (plus de quelques mois) et peut survenir à partir de doses faibles ou élevées. La sévérité du sevrage du baclofène dépend de la vitesse à laquelle le baclofène est interrompu. Ainsi pour minimiser les symptômes de sevrage du baclofène, la dose doit être diminuée lentement lors de l’arrêt thérapie au baclofène. L’arrêt brutal est le plus susceptible d’entraîner des symptômes de sevrage sévères. Symptômes aigus de sevrage peut être arrêté en recommençant le baclofène


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  • Après des prescriptions à long terme (et plus rarement à court terme) : 20% n'ont pas ou peu de symptomes de sevrage, 12% à 15% sont victimes d'un syndrome prolongé de sevrage pouvant durer jusque 10 ans parfois. Pour les autres victimes le sevrage peut se passer en minimisant les symptôme aux maximum par un sevrage très lent, cependant en France aucun médecin ni aucun établisssement n'applique cette technique pourtant simple préconisé par les docteurs Ashton, Peart et Breggin.
     

    LE SYNDROME PROLONGE DE SEVRAGE AUX BENZODIAZEPINES

    Une minorité de personnes sevrée des benzodiazépines semblent souffrir d'effets à long terme, appelés symptômes prolongés qui ne disparaissent pas au bout de quelques mois, voire même quelques années. On estime que peut-être entre 10 et 15 pour cent
     
    dépression sur ordonnances
    provoqué par le médecin
     
    L'état de manque provoque : insomnie chronique, sensation de brulure au cerveau, anxiété, dépression iatrogène...
     
    La phobie sociale est "une pathologie inéxistante et exagéré" pour vendre des "médicaments" et des consultations médicales qui provoquent réélement ces maladies de manière iatrogène.

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  • L'arrêt des drogues dures telles que les benzodiazépines (et autres, légales : alcool, , neuroleptiques, antihistaminiques, codéïne, méthadone...ainsi que les amphétamines cachées, la ritaline, les antidépresseurs...ou illégales : héroïne, cocaïne...) provoquent une dépression du système sur lequel elles agissaient : le système nerveux central (SNC).
     

    Comment les médecins pratiquent le tortures sur leurs patients

    Les médecins et les drogues médicales sont la principales cause de dépression.
     
    Ils sont particuliérement inéfficaces dans le cadre d'un sevrage aux benzodiazépines car ils n'agissent pas sur les mêmes recepteurs, donc n'attenuent en rien les symtômes de sevrage.
     
    Inutile en cas de sevrage aux benzodiazépines, mais dangereux !
     
    Les meilleurs sites sur les antidépresseurs
     
    Les psychotropes, stupéfiants légaux et illégaux

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  • havlane®, seresta®, tranxène®, lysanxia®, mogadon®, nordaz® valium®, temesta®, lexomil®, urbanyl®, veratran®, xanax® noctamide®, normison®, nuctalon®, rohypnol®, halcion®, rivotril®, victan®...et drogues Z imovane® stilnox® et autres…ainsi que l'atarax,neurontin, lyrica...
     

    Site d'information sur la dépendance et le sevrage aux benzodiazépines

    Le délai de récupération est de plus longue durée que celle requise pour une des drogues illégales mentionnées ci-dessus ou pour tout autres médicaments que nous connaissons.
     
    PROTOCOLE À SUIVRE LORS DU SEVRAGE DES BENZODIAZÉPINES. professeur Ashton
     
    Le site le plus complet du net
     
    Ce site d'info sur les benzodiazépines nous informe que : IL NE FAUT JAMAIS FAIRE CONFIANCE A UN MEDECIN en matière de psychotropes !
     
    Les dangers de la toxicomanie aux benzodiazépines
     
    Le site de ross
     
    Le site de victime of tranquilliser (VOT)
     
    "Ce sont des substances extrêmement dangereuses qui auraient dû être interdites, comme des médicaments similaires l'ont été dans le passé"
     
    Les benzodiazépines (benzos) peuvent causer des effets secondaires, une tolérance, une accoutumance, une dépendance, des symptômes de sevrage et un syndrome prolongé de sevrage

    sevrage benzodiazépines
    Conseils pour les sevrage aux benzodiazépines

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  • antidépresseurs, somnifères, benzodiazépines et autres.

    "COMMENT EMPECHER VOTRE DOCTEUR DE VOUS TUER" La parole aux victimes
     
    " La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n'est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur."
     
    avocats, class action, condamnations...
     
    "Ce sont des substances extrêmement dangereuses qui auraient dû être interdites, comme des médicaments similaires l'ont été dans le passé"

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  • Tout comme toi , je suis dépendant de cette drogue légale depuis très longtemps. En fait, il y-a 17 ans, j'ai été hospitalisé en hopital psychiatrique pour une grosse déprime ( je ne suis pas certain aujourd'hui que c'etait une véritable dépression sévère...). Durant cette hospitalisation, on m'a administré des doses massives de Tranxene 50 (Clorazépate) en injection intra- musculaire, puis ensuite par voie orale. Très rapidement, je suis devenu dépendant de ce produit et je me suis vu augmenter les doses de façon considérable, cela durant des années. Comme l'explique très bien le dr Ashton, avec les benzo (surtout celles qui ont une demie-vie courte), malgrés les prises régulières, on est constamment en manque, d'où l'augmentation des doses et ce cercle vicieux... Je n'ai jamais été dans le déni et pour commencer, j'ai tenter de diminuer ma consommation et j'ai commencé à pallier le manque, par la consommation d'alcool. Puis, le temps passant, j'ai accentué ma consommation d'alcool (dont les propriétés anxiolytiques sont très proches de celles des benzodiazépines) , tout en continuant à consommer des benzo, jusqu'à devenir complètement alcoolique. Je précise qu'avant  mes premières préscriptions de benzo, je n'avais jamais consommé,  tout comme toi,  de drogues illégales et j'avais même un dégoût très fort pour l'alcool, car j'avais le souvenir douloureux d'un père tyrannique sous l'emprise de l'alcool...
     
    Il y-a un an (le 4 juin 2008), j'ai mis un terme à ce problème d'alcoolisme en prenant conscience que s'agissant de ce produit, il n'y-a aucune autre solution que l'abstinence totale et définitive. En dehors, de symptômes de sevrage physiques qui durent environ une semaine (tremblements, transpiration excessive etc..), depuis, je n'ai plus jamais ressenti l'envie irresistible de boire une seule goutte d'alcool, car ma motivation était très forte. Aujourd'hui, je ne pense même plus à ce produit et ma motivation reste intacte, car, je veux toujours garder à l'esprit l'image de "l'épave" que j'étais devenu. Lorsque je serais définitivement sevré des benzo, je m'appliquerais d'aiileurs la même ligne de conduite et le même raisonnement. Ne jamais oublier, l'état psychologique, les modifications de ma vraie personnalité, tout ce que j'ai pu perdre à cause de cette drogue, sentimentalement, professionnellement et materiellement!
    Environ un mois aprés mon arrêt de l'alcool, j'ai décidé de me sevrer brutalement des benzo également. Alors là , par contre, rien à voir avec la facilité que j'ai eu à arrêter l'alcool!!!  j'ai vécu l'enfer de la dépression durant 3,5 mois.  Avec entre autre,  tous les symptômes que tu as décris dans un de tes mails précédent. A l'issue de cette période, j'ai demandé à mon psychiatre qu'il m'en represcrive car cet enfer n'avait que trop duré et de nouveau, trés rapidement, avec ce phénomène de tolérance, j'ai dû augmenter les doses pour continuer à ressentir les mêmes effets. Je lui ai demandé s'il existait un moyen de se sevrer progressivement et il m'a répondu évasivement,  que le sevrage progressif était seulement préconisé pour les personnes qui en font une consommation  importante afin d'éviter les risques graves de convulsions. Mais qu'était-ce pour lui une consommation importante? sachant que j'en prenais de nouveau énormément;  et les convulsions sont-elles l'unique risque grave lié à l'arrêt brutal?  La dépression inhérente à ce sevrage "sec",  avec les idées suicidaires qui l'accompagne, ne sont elles pas non plus un risque grave? 
     
    Bref, en désespoir de cause, par l'influence des médecins ou psychiatres et surtout par manque d'informations, pour la seconde fois, j'ai décidé de me sevrer brutalement,  en revivant le même enfer que lors du sevrage de benzo précédent. Puis, j'ai décidé de faire des recherches sur internet ( dont je dispose et que j'ai découvert il n'y-a que quelques mois),  pour voir s'il n'existait pas d'autre alternative que le sevrage brutal et savoir si d'autres protocoles existaient. Et puis comme toi, j'ai découvert ce site avec son aide en ligne et me suis rendu compte que je n'étais pas le seul à vivre l'enfer de cette drogue légale. C'est la raison pour laquelle, j'ai ressenti le même soulagement que toi, à savoir, que je n'étais pas "l'unique cas au monde" à ressentir un enfer par rapport aux benzo et qu'enfin des personnes pouvait entendre ce que je vivais et sans mettre en doute ma parole.
     
    Jusqu'à présent, (et ça fait très longtemps que je fais part aux professionnels de la santé de mes problèmes avec cette consommation addictive), soit on augmentait mes doses ou bien, on me sommait d'arrêter brutalement. En fait, en France, les mêmes médecins qui nous ont prescrit et sur-préscrit ces molécules voudraient que l'on s'en sevre brutalement en pretextant que c'est nous qui adoptons une conduite toxicomaniaque et refusent de reconnaitre le syndrôme de sevrage.

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  • conseils pour le sevrage des benzodiazépines
    Sevrage lent

    sevrage benzodiazépine
    "Attention : les informations suivantes sont destinées aux personnes qui peuvent prévoir leur sevrage - si vous souffrez actuellement d'un syndrome de sevrage en raison d'une diminution trop rapide ou d'un sevrage brutal, revenez immédiatement à la dernière dose à laquelle vous vous ressentiez une bonne stabilité physique et émotionnelle. C'est impératif - ne comptez pas sur le temps pour vous débarrasser de vos symptômes, vous risquez un syndrome prolongé de sevrage aux benzodiazépines. Certains, y compris dans le corps médical, pensent que le sevrage brutal ou trop rapide peut faire gagner du temps, mais c'est une idée fausse. Non seulement le sevrage brutal est dangereux, mais il peut prolonger vos souffrances des mois ou des années durant."

    Le sevrage proposé par le corps médical en France : des méthodes inadaptées qui favorisent la rechute    Que ce soit en ambulatoire ou en milieu hospitalier (y compris dans les services spécialisés), les méthodes de sevrage que les médecins français proposent à leurs patients ne sont pas du tout adaptées à la réalité de la dépendance aux benzodiazépines. Les protocoles de sevrage sont beaucoup trop courts (sevrage en six à dix semaines maximum) et les médecins ont trop souvent tendance à prescrir d'autres psychotropes (antidépresseurs, neuroleptiques, ou une autre classe d'anxiolytiques) qui, loin de compenser le sevrage aux benzodiazépines, peuvent en aggraver à la fois les manifestations et la durée.

    Le mode d'action des antidépresseurs est complètement différent de celle des benzodiazépines et donc ils sont généralement inefficaces à atténuer les effets de sevrage des benzodiazépines.

    conseils pour le sevrage des antidépresseurs
    sevrage lent

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  • Les responsables : les médecins


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  • Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé


    Respecter la durée de prescription
    Elle doit être aussi brève que possible, notamment :
    de 8 à 12 semaines dans les troubles anxieux, réduction de posologie comprise,
    de 2 à 5 jours en cas d'insomnie occasionnelle et 2 à 3 semaines en cas d'insomnie transitoire (excepté pour fluni trazépam et triazolam, dont la durée de prescription ne doit pas excéder 14 jours).


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  • Anne-Marie

    (Cette histoire illustre parfaitement ce RxISK.org est tout au sujet. Elle montre une femme extraordinaire à nous adapter à un problème qu'elle a sur le traitement. L'espoir quand RxISK.org est en marche, c'est que nous serons en mesure de rendre plus facile pour les personnes comme Anne-Marie de s'engager avec leur médecin afin de résoudre des problèmes comme celui-ci Malheureusement, même si de toute évidence un problème de la drogue-induite Anne-Marie ne veut pas être identifié -. DH).
     
    On m'a demandé d'écrire cette histoire pour sensibiliser à un effet secondaire étrange de traitement et de mes efforts pour aller au fond de celui-ci.

    Avant que mes problèmes ont commencé, je travaillais comme assistante de soins de santé à mon hôpital local à Surrey pendant cinq ans. J'ai apprécié mon travail. Je possédais ma propre maison et la voiture.

    . Après la mort soudaine et dévastatrice de mon père je suis devenu anxieux et sur une période de un an développé une peur de l'étouffement qui a empiré au point que j'ai été en évitant les aliments et perdre du poids.  J'ai réalisé que j'avais besoin d'aide.

    Je suis allé à mon médecin qui lui a prescrit 20 mg de paroxétine sous forme liquide, car je ne pouvais pas avaler les comprimés.J'ai eu des nausées, des étourdissements, de feutre espacées et détaché, mais a été assurée par mon médecin que ces symptômes se calmerait.

    Après quelques mois, les choses ne commencent à s'améliorer. J'ai remarqué que mon alimentation était revenue à la normale.Je me sentais beaucoup plus énergique et plus confiant et a été en mesure de terminer une journée de travail sans se sentir vidé et épuisé. I started socializing again. J'ai commencé à socialiser à nouveau.

     l'avertissement m'a rassuré qu'il était sûr d'avoir quelques verres avec des amis

    Pour commencer j'ai été préoccupé par la consommation d'alcool sur le médicament. J'ai vérifié la notice d'information patient qui a donné, ce qui me semblait, comme un léger avertissement que «même si il est toujours conseillé d'éviter l'alcool tout en prenant des médicaments il n'y a pas d'interactions connues avec la paroxétine et de l'alcool". Cela m'a rassuré qu'il était sûr suffit pas d'avoir quelques verres avec des amis.

    Au début, j'étais seulement avoir quelques verres de vin, mais lentement au fil du temps, j'ai bu de plus en plus. J'ai commencé à dire et faire des choses que je n'avais aucun souvenir de la suite. Je me suis interdit de restaurants et de bars dans ma ville et est devenu une source d'embarras pour mes amis.  Finalement, certains de mes amis proches et la famille se sont éloignés de moi.  Je perdais tout le monde autour de moi et de perdre le contrôle de ma vie mais je m'en fichais. Je me sentais comme si j'étais dans un rêve et que rien de tout cela était réel.

    Je suis devenu agressif verbalement et mon comportement était indifférent. À une occasion, j'ai grimpé sur un velux et sur mon toit.  Je ne voulais pas me tuer. Je n'ai même pas prendre en considération les dangers de ce que je faisais.

    J'ai commencé à avoir des ennuis avec la police, dans l'ensemble de continuels appels téléphoniques intempestifs au poste de police. Ce qui s'est passé sur une base régulière quand je buvais.  je me sonner les 20 à 30 fois par nuit sur leur cas non urgents avec seulement un souvenir très vague de le faire.. Il en est résulté me faire arrêter à de nombreuses reprises.

     J'ai commencé à sentir que quelque chose n'allait pas

    . Après s'être arrêté à plusieurs reprises, j'ai commencé à sentir que quelque chose n'allait pas. . J'ai commencé à prendre des congés.eu envie de l'alcool qui ont été si intense que je me sentais possédé. I would start drinking and couldn't stop. Je voudrais commencer à boire et ne pouvait pas s'arrêter.. Je continue jusqu'à ce que je soit arrêté ou je me suis effondré dans le coma.  Je me sentais seul avec mon problème et ne pouvait pas comprendre pourquoi je me comportais comme ça. . J'avais l'impression que personne ne comprenait ce qui se passait pour moi ou pris en charge.

     J'ai commencé à faire des recherches sur Internet pour trouver une réponse et j'ai trouvé d'autres personnes déclaration envie de l'alcool sur les médicaments ISRS sur de nombreux sites. . Cela m'a vraiment choqué. Pourtant, personne dans la profession médicale semble prendre toute notification de celui-ci. Why? Pourquoi? . La première fois que j'ai vu un psychiatre m'a dit que c'était à cause de mon problème d'alcool.

     terribles envies incontrôlables écrasante

     Je savais que je buvais trop, mais j'ai également eu de terribles envies incontrôlables accablants pour l'alcool. J'ai imprimé une partie des informations de l'Internet et sur ce donné à mon médecin et j'ai essayé d'expliquer que je pensais que le médicament a été de me donner envies intenses de l'alcool.

    My doctor was very sympathetic but not convinced. Mon médecin était très sympathique, mais pas convaincu. Encore une fois, on m'a dit que j'avais un problème d'alcool et était dans le déni. Il a toutefois accepté de changer mes médicaments et m'a prescrit 20 mg de citalopram.. On m'a renvoyé à mon local de la drogue et de l'alcool clinique.

    Après le passage au citalopram au cours de quelques mois, je me sentais moins agressif. Cependant mes envies de l'alcool étaient aussi fort que jamais et je ne pouvais pas arrêter de boire. Les choses en spirale de plus hors de contrôle. J'ai passé du temps en prison, a été suspendu et finalement renvoyé de l'emploi que j'aimais. . Même un couple de mois sans alcool en cure de désintoxication, où j'ai été fourni avec l'aide et le soutien écrasant, n'a pas suffi à stopper la tendance continue dès que je suis rentré.

    A présent, j'avais renoncé à des experts ... qui m'a accusé de refus

    A présent, j'avais renoncé à essayer de dire à mon équipe médicale que je pensais que c'était mon médicament qui causait des problèmes.J'ai été accusé d'être dans le déni sur l'alcoolisme, mais j'étais certain que ces envies intenses de l'alcool ont été induits par les ISRS.

    Avant j'avais cherché pour les autres des problèmes similaires, maintenant, j'ai commencé à chercher des réponses. D'abord, je googlé envies alcool induites par la paroxétine, puis par le citalopram.  Les premières pages web je suis tombé sur des forums étaient la dépression et les sites web similaires où les gens où partageant leurs histoires sur les mêmes envies d'alcool et de chercher des réponses.Je suis tombé sur la Coalition internationale pour la sensibilisation aux drogues, le Groupe d'appui Seroxat utilisateurs et le site Web Seroxat secrets où de nombreuses personnes ont fait état de la même chose.

    J'ai décidé de commencer à regarder les documents de recherche, mais je ne pouvais pas trouver sur les ISRS et les envies d'alcool.  J'ai ensuite lu un message sur un des forums qui ont mentionné une étude de Yale de 1994 qui avaient un lien avec la sérotonine. Cela m'a dirigé vers la lecture de l'alcoolisme et le système de sérotonine.

    Il n'y avait pas de réponse facile à cette question.

     J'ai lu de nombreux articles que j'ai vaguement compris.  J'ai dû tout apprendre sur les récepteurs de sérotonine, les transporteurs et les neurones pour comprendre les travaux de recherche que je lisais. J'ai dû quitter plusieurs fois et y revenir que ma tête lui faisait mal d'essayer de le comprendre.  J'ai presque renoncé à chercher à plusieurs reprises mais ne pouvait pas parce que je savais la réponse était là quelque part.J'ai appris qu'il y avait sept récepteurs de la sérotonine et j'ai été très déçu d'apprendre qu'il y avait encore plus de récepteurs connectés à ces récepteurs. Il y avait aussi un seul récepteur mais qui avait une porte d'entrée de la dopamine, qui est le récepteur S-3. J'ai maintenant besoin d'apprendre ce que tous ces différents récepteurs a fait et pour voir si tout a été relié à des envies de l'alcool. There were no easy answers to this. Il n'y avait pas de réponse facile à cette question.

    Avais-je vraiment comme ça depuis dix ans?

    Je voulais me sevrer de citalopram. I knew it was ruining my life. Je savais que ça ruiner ma vie. . Dans le premier mois, je ne pouvais pas croire le changement en moi. Je me sentais comme si j'avais été rendu mes yeux et entendre de nouveau. I felt in awe of everything around me. Je me suis senti dans la crainte de tout ce qui m'entoure. Si j'avais vraiment été comme ça pendant dix ans et ne l'avait pas rendu compte? . Presque immédiatement, les fringales de l'alcool réduite d'environ 50%.

    Mais le retrait n'a pas été facile et je suis passé par deux mois de la détresse des sautes d'humeur extrêmes, des attaques de panique, hypersensibilité au bruit, se sentant comme si j'avais la grippe avec des douleurs.  Je ne pouvais pas faire face à ce je suis donc à mon médecin généraliste et a été mis sur la mirtazapine 15mg, qui plus tard a été augmenté à 30 mg que je vivais le syndrome des jambes sans repos à la plus faible dose. (J'avais vu sur internet qu'une autre femme a eu une expérience semblable que moi sur la mirtazapine 15mg qui a disparu à 30 mg).

     J'ai réalisé que la mirtazapine peut avoir la réponse

    J'ai réalisé que la mirtazapine peut avoir la réponse. I knew it worked differently to the SSRIs. Je savais que cela a fonctionné différemment aux ISRS.

    Je levai les yeux des médicaments de l'alcoolisme et suis tombé sur un médicament appelé l'ondansétron, qui agit en bloquant le récepteur S3 et en éliminant les fringales. J'ai cherché de l'alcoolisme et des récepteurs S3 et S3 constaté que les récepteurs de la sérotonine était le seul qui avait une porte d'entrée vers la dopamine et un papier «fonctionnelles des variants génétiques qui augmentent la sérotonine synaptique et la sensibilité des récepteurs 5HT3 Predict alcoolisme et la toxicomanie». J'ai été étonné. Il est logique que si certaines personnes ont un lien génétique à l'alcoolisme médiée par le système de la sérotonine que les ISRS peuvent augmenter cette sensibilité et la mirtazapine le bloquer.

     Je viens aussi trouvé un autre article de recherche qui a été menée sur des souris en 1990 est-ce également constaté que si S3 est bloqué dans la souris, il a arrêté les souris de boire de l'alcool.

     Je sais maintenant ce qui m'est arrivé

    Cela m'a pris beaucoup de temps, la lecture et l'apprentissage, mais j'ai maintenant comprendre pourquoi j'ai eu ces envies intenses de l'alcool tout en prenant des ISRS.

     Il me met en colère que nous n'avons jamais eu des avertissements comme ils le font aux États-Unis.  Pourquoi n'avons-nous pas protégée ici au Royaume-Uni avec un avertissement approprié de la même manière?  Si mon médecin avait su que les ISRS pourraient causer des fringales de l'alcool chez certaines personnes, il m'aurait enlevé ces médicaments aux premiers signes de consommation d'alcool.

    Cela m'aurait évité des années de souffrance et peut-être contribué à beaucoup d'autres personnes aussi. Je suis sûr que c'est un problème qui est plus fréquent qu'on le croit. In addition to all the people I have come across reporting these effects on various internet websites,  En plus de toutes les personnes que j'ai pu rencontrer la déclaration de ces effets sur divers sites internet, j'ai rencontré beaucoup de gens qui ont eu des problèmes similaires ou qui connaissent des personnes qui ont également eu des problèmes sur ces médicaments.

    Les gens sur ces médicaments sont vulnérables de toute façon et il est inquiétant de penser combien pourraient être bu à l'excès dans tout le pays en raison d'un besoin d'alcool causée par un traitement. Il est absurde de donner l'impression que ces médicaments sont relativement sans danger avec de l'alcool si les comprimés amener certaines personnes à des envies intenses.  Il est inquiétant aussi que le médicament et l'alcool peut causer indépendamment confusion, la désorientation, l'hypomanie, agressivité et de pensées obsédantes et bizarres et les comportements et que la combinaison de certaines personnes peuvent faire de ce bien pire.

     Il a maintenant m'a fait regarder à l'expérience des autres pour obtenir des informations concernant les médicaments comme ils semblent être plus précis et honnêtes dans leurs conclusions que les entreprises, les organismes de réglementation ou des médecins.

    C'est fou que les patients doivent se retrouver sur l'Internet pour comparer leurs effets secondaires et discuter de leurs problèmes parce qu'il n'y a nulle part où aller. Il m'a fait regarder les expériences des autres pour obtenir des informations concernant les médicaments aujourd'hui car ils semblent être plus précis et honnêtes dans leurs conclusions que les entreprises, les organismes de réglementation ou des médecins.

     Je ne savais pas jusqu'à ce que je suis descendu de la médication à quel point j'étais. I feel ashamed and guilty for what I put people through. Je me sens honteux et coupable de ce que je mets les gens à travers. J'ai perdu mon emploi, ont dû déménager la maison, avoir un casier judiciaire et a perdu le respect de la famille et les amis. Tout cela pourrait être évité s'il y avait eu des avertissements adéquats sont en place et l'efficacité des communications entre les différentes autorités.

     J'ai vu mon ancien médecin généraliste dans Asda récemment et il m'a demandé si j'étais de retour en soins infirmiers. Je lui ai dit non, je ne serai jamais en mesure de revenir maintenant, après ce qui s'est passé pour moi.  Il ne dit rien et s'en alla. Je ne veux pas paraître comme si je lui reproche, mais je crois qu'il se sentait que c'était ce que je faisais. I felt guilty afterwards. Je me sentais coupable par la suite. Je ne blâme pas du tout mon médecin, je blâme les sociétés pharmaceutiques et les MHRA. Ce qui me gêne, c'est que même le ministère de la Santé a répondu à mes MP essentiellement jeter le blâme sur le GP qui selon eux devrait avoir remarqué des changements dans mon comportement.

    Je veux raconter mon histoire comme un avertissement à tous ceux qui peuvent être envie de l'alcool sur les ISRS. I also want to tell people that sometimes it's a mistake to leave it to the experts. Je tiens aussi à dire aux gens que parfois c'est une erreur de le laisser aux experts.  Et enfin, je veux dire les médecins que vos patients peuvent souvent voir ce que l'information que vous obtenez est pas - nous ne vous blâme pas pour cela, nous voulons juste que vous nous écouter.

     (La torsion extraordinaire dans la queue ici est de savoir comment le régulateur gère à la fois de nier l'existence de ce problème et de blâmer le médecin en même temps Cela devient de plus en plus courante dans les systèmes de soins de santé modernes -. DH).

    Puisque l'envoi de cela, il est devenu clair il ya des centaines de personnes qui ont vécu quelque chose de semblable - si vous avez été l'un d'eux pourrait vous ajoutez votre expérience à ce fil.


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  • alcool et récepteurs gaba une consommation chronique d’alcool amène progressivement une « hypersensibilité » des récepteurs NMDA au glutamate ainsi qu’une « désensibilisation » des récepteurs GABAergiques. C’est ce type d’adaptation qui causerait l’état d’excitation caractéristique du sevrage à l’alcool.

    L’alcoolisme n’est pas une maladie Depuis 1849 une maladie : l’alcoolisme, connue autrefois sous le nom d’ivrognerie, est reconnue du monde médical. Depuis 1960 cette maladie, définie par une dépendance définitive et incurable aux boissons alcoolisées, est caractérisée par une perte du contrôle de la consommation et un besoin obsédant d’alcool. La maladie alcoolique entraîne une perte de la liberté de boire modérément et ne connaît qu’un seul traitement : l’abstinence totale et définitive. Cette conception ne repose pas sur des données expérimentales mais sur une expérience clinique. Elle n’a jamais été mise en cause par les institutions médicales, mais elle est contestée par les spécialistes des sciences humaines et par une partie de ceux qui soignent les sujets atteints d’une addiction.

    Alcoolisme : une maladie ? Dans son livre Is Alcoholism Hereditary? (L’alcoolisme est-il héréditaire ?), le psychiatre Donald W. Goodwin, M.D., s’interroge sur la définition du mot maladie et conclut :  » Les maladies sont un ensemble de phénomènes pour lesquels les gens consultent des docteurs… Les médecins sont consultés pour un problème d’alcoolisme et par conséquent l’alcoolisme devient, selon cette définition, une maladie. » (Ballantine Books, 1988, p. 61). Si nous acceptons cette définition, il suffirait que certains patients aient, pour une raison quelconque, consulté leur médecin sur la question de comment sortir de la récession économique ou sur celui de comment résoudre un désaccord entre époux ou entre deux pays, pour que ces problèmes se voient alors eux aussi qualifiés de maladies.

    POURQUOI L’ALCOOLISME N’EST PAS UNE MALADIE Le discours dominant sur l’alcoolisme tenu par la communauté médicale nord-américaine et repris par les Alcooliques Anonymes à travers le monde soutient que la personne dépendante est en fait une personne malade. Cette conception pathologique du phénomène des dépendances a des effets pervers non seulement sur l’individu en question mais aussi sur ses proches et son milieu social. Prétendre ainsi que l’alcoolisme est une maladie devant laquelle la personne est en perte de contrôle (une fois alcoolique, toujours alcoolique), c’est affirmer d’avance l’échec d’un individu à pouvoir se reprendre en main et considérer que la seule prescription possible est l’abstinence totale. La médicalisation de l’alcoolisme contribue ainsi à déresponsabiliser et à déculpabiliser l’individu et son réseau socio-familial en en lui offrant pas les moyens réels de s’en sortir. Au contrôle toujours croissant de l’approche médicale, l’auteur oppose une approche qui met en valeur les compétences des êtres humains et leur capacité de procéder à des changements dans leur style de vie, et dans leur milieu social, familial et professionnel. En privilégiant une approche fondée sur la réduction des méfaits, l’auteur réussit à démontrer que l’accompagnement personnel ou thérapeutique des individus souffrant de dépendances est possible et constitue une avenue viable et durable. Ce livre veut susciter une prise de conscience pour que de nouvelles approches s’inspirent plus des forces des individus que de leurs faiblesses.
     
    Sous influence : Un guide sur les mythes et réalités de l'alcoolisme
    Dix des millions d'Américains souffrent de l'alcoolisme, mais la plupart des gens croient encore à tort que l'alcoolisme est un problème psychologique ou moral, et qu'elle peut être guérie par la psychothérapie ou force de volonté. Sur la base révolutionnaire de la recherche scientifique, sous l'influence d' examiner les facteurs physiques qui définissent les alcooliques et non-alcooliques à part, et suggère une façon audacieuse, sans stigmatisation de la compréhension et le traitement de l'alcoolique.

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  • Des dizaines de témoignages l’affirment, et d’éminents médecins le confirment : certains antidépresseurs peuvent vous faire tomber dans l’alcool. Ce risque concerne une classe de médicaments précise : les “inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine” ou ISRS. Ces molécules, dont la plus célèbre a été lancée en 1986 sous le nom de Prozac, étaient présentées comme des médicaments miracles. Aujourd’hui, ils sont accusés d’être peu efficaces et de créer de sévères dépendances. De plus, leurs effets indésirables peuvent s’avérer redoutables. On connaissait, entre autres, le risque de suicide augmenté, les pulsions agressives, voire meurtrières, les comportements compulsifs (jeu, shopping, etc.), l’accroissement de 87 % du risque d’autisme pour l’enfant exposé in utero. Quelques jours après la publication d’Effets secondaires, le scandale français (1), faut-il ajouter l'alcoolisme à la longue liste des effets secondaires des ISRS ? Christophe* a 27 ans, en 2004, quand son médecin lui prescrit pour la première fois de l’Effexor®, à la suite de ce qu’il évoque sobrement, au début de l’entretien, comme “des décès dans la famille”. Le médecin ne lui délivre aucune consigne particulière. “Auparavant, je n’avais jamais abusé d’alcool. Je buvais quelques bières le week-end, dans des soirées… Mais je suis quelqu’un de responsable, si je savais que j’allais “descendre” deux ou trois verres, je ne prenais jamais le volant.” Christophe commence le traitement et ressent rapidement d’irrésistibles pulsions à consommer de l’alcool. Il boit de plus en plus, conduit dans la foulée et constate qu’il ne ressent pas les effets euphorisants de l’ivresse : “Sous ISRS, j’aurais pu boire une bouteille de vodka le matin et aller travailler comme si de rien n’était. Aucune gueule de bois. Mais ce n’était pas tout : à partir d’une certaine quantité, c’est comme si quelqu’un d’autre prenait ma place. Je me conduisais mal, je vociférais, je flirtais avec des filles – ce que je n’aurais jamais fait en temps normal, même ivre. Mes copains me racontaient mes “exploits” le lendemain, car je n’en avais gardé aucun souvenir. J’étais comme anesthésié, alors je n’en avais plus rien à f… Et ça a fini par bien bousiller ma vie.” Pendant quatre ans, Christophe n’établit aucun lien entre son traitement et son changement de comportement. Ses amis lui enjoignent de se faire soigner : à leurs yeux, il est “simplement” en train de tomber dans l'alcoolisme. Un soir, à un mariage, il boit et assure qu’il veut se suicider. La police arrive et l’embarque, un agent lui demande s’il prend de la cocaïne, de l’héroïne ou une autre drogue. “On peut dire que les IRS ont beaucoup d’effets secondaires… dont la mort !” lance le docteur Bruno Toussaint, directeur éditorial de la revue Prescrire (3). En juin 2015, Prescrire a écrit, dans un article intitulé “Antidépresseurs IRS et venlafaxine : intoxications à l’alcool avec violences” : “Selon quelques centaines d’observations, certains antidépresseurs semblent exposer à une augmentation de la consommation d’alcool, à des signes d’intoxication à l’alcool exagérés, avec des manifestations d’agressivité. Il s’agit notamment des ISRS et de la venlafaxine.” Pour Bruno Toussaint, “il existe manifestement un lien entre les IRS et la consommation d’alcool. Mais, comme tous les comportements – y compris les pulsions meurtrières, suicidaires –, ces effets sont difficiles à répertorier et à quantifier. On pourrait dire que ce n’est ni bien décrit ni bien “rangé” dans les bases de données pharmacologiques. Et puis, l’interaction d’une personne et d’une substance est déjà un phénomène complexe, alors imaginez si l’on ajoute l’alcool à l’équation
    A écouter : le 18/20 de Sud Radio le 4 décembre, avec Ariane Denoyel
    18/20 4 décembre : anti-depresseurs.mp3 (1 309,51 kB)
     
    Vous êtes déprimé ? Renseignez-vous bien avant de prendre des médicaments. Car certains antidépresseurs peuvent vous faire tomber dans l’alcoolisme, un effet secondaire soigneusement occulté par les fabricants…
    Elle n’arrivait pas à se remettre du décès de son père. Alors son médecin a prescrit à Anne-Marie Cook, une aide-soignante du sud de l’Angleterre, l’antidépresseur Deroxat. En quelques mois, cette femme de 40 ans en bonne santé, sans problème particulier, devient alcoolique, agressive, perd son travail et sa maison. Quand elle arrête le Deroxat, ses pulsions disparaissent. Un cas isolé ? Non, affirme le psychiatre britannique David Healy, créateur du site Rxisk.org sur les effets secondaires des médicaments. Il a répertorié plus de 40 cas similaires.

    Tueurs fous et femmes enceintes

    Un élément de plus dans le dossier à charge contre les antidépresseurs, qui sont déjà impliqués dans la plupart des épisodes de “tueurs fous” aux États-Unis (notamment à Columbine, en 1999), mais aussi en France (l’an dernier à Sète et plus récemment, semble-t-il, dans le cas du tireur de Libération). À tel point que l’administration américaine a obligé les fabricants à faire figurer sur les boîtes un avertissement, le black box warning, prévenant des risques accrus d’épisodes violents et de suicides.

    “Un médicament vendu sur ordonnance peut vous rendre alcoolique, suicidaire, ou faire de vous un meurtrier”, résume le professeur Healy. On peut d’ailleurs établir un “palmarès” des médicaments les plus susceptibles de provoquer des accès de violence : ce sont tous des “best-sellers”. Sur ce sinistre podium, le “gagnant” est Champix (varénicline, pour arrêter de fumer), suivi par Prozac (fluoxétine) et Paxil (paroxétine).

    Une victime s’est consacrée (jusqu’à sa mort, en 2012) à répertorier les cas d’accès de violence, de suicides et de comportements étranges sous médicaments. Son site s’appelle Ssristories.com (SSRI est l’acronyme anglais pour “inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine”, les antidépresseurs comme le Prozac).

    Ces molécules sont devenues, en 2012, les médicaments les plus prescrits aux femmes enceintes. Sous prétexte que la dépression serait dommageable à la mère et à l’enfant… Étrange argument, quand on sait qu’ils multiplient par deux le risque de fausse couche et de malformations, et qu’ils peuvent provoquer des retards cognitifs importants.

     Envies d’alcool induits par l’intermédiaire de la sérotonine accrue
    Il y a un lien inquiétant entre l'allcoolisme et les divers médicaments qui augmentent la sérotonine. Les médicaments les plus populaires sont : PROZAC, ZOLOFT, PAXIL, LUVOX, CELEXA, LEXAPRO, EFFEXOR, CYMBALTA, REMERON, PRISTIQ, TRAZADONE, TRAMADOL, ANAFRANIL, BRISDELLE, etc.. Pendant de nombreuses années de nombreux rapports ont été faites par des alcooliques réformées (certains pendant 15 ans et plus) qui sont « chassés » à l’alcool après un de ces médicaments prescrits. Et de nombreux autres patients qui avaient sans antécédents d'alcoolisme ont continué à déclarer une « contrainte écrasante » à boire pendant l’utilisation de ces médicaments. Il s’agissait de la première réaction d’antidépresseur que j’ai remarqué avec le premier antidépresseur SSRI Prozac parce qu’il se détachait comme un pouce endolori dans le domaine dans lequel je vivais, Salt Lake City, Utah, siège de l’église de Jésus Christ des Saints aussi appelé Mormons. Les Mormons ne buvez pas d’alcool, mais quand tant de personnes a commencé à faire après avoir lancé sur un de ces médicaments, il est devenu très évident qu’il existait un lien. Beaucoup a déclaré qu’ils n’avaient aucune idée comment ils savaient que l’alcool était ce qu’ils ont envie car ils n’avaient jamais en leur vie même goûté à l’alcool avant.
       
     
    j'ai vu ceux qui n'avaient jamais touché l'alcool dans leur vie devenant alcoolique presque du jour au lendemain sous antidépresseurs
     
    prozac, panacé ou poison ?
    les niveaux accrus de sérotonine produisent, la dépression, le comportement impulsif, le meurtre et le suicide, l'incendie criminel, le crime violent, conduite insouciante, l'inquiétude, l'irritabilité, les douleurs autour du coeur, l'insomnie, l'abus d'alcool et d'autres drogues, la difficulté à respirer et l'hypertension
     
    La personne qui nous a mis cela sur le radar était Anne-Marie, dont le cas – Nouvelle dépendance à l’alcool liée au traitement aux ISRS – a été publié dans l’International Journal of Risk and Safety in Medicine.
     
    L'utilisation d'antidépresseurs pour l'alcoolisme chez les humains a été un sujet de controverse au cours des dernières années. Malgré l'existence d'une co-morbidité importante pour la dépression et l'alcoolisme, certaines études suggèrent que l'utilisation d'antidépresseurs peut aggraver le pronostic de l'alcoolisme
     
    Une revue de la littérature est mis en évidence avec un cas de dame d'âge moyen avec un nouveau syndrome de dépendance à l'alcool apparition après le début de ISRS, qui a résolu après l'arrêt de l'ISRS 
     
     - il exerce l'effet chimique opposé d'un médicament antidépresseur

    répertorie des (effets secondaires) des antidépresseurs
    L'abus d'alcool et / ou Craving
     
     
      je suis bipolaire, anciennement alcoolique, et lors de ma cure pour arrêter l'alcool les médecins m'ont mise sous abilify (15 mg), seresta (benzo 50 mg le soir) cela fait 4 ans que je prends du seresta. Je suis consciente d'en être dépendante mais ça me fait du bien et m'aide à dormir. J'ai eu en 15 ans tout un tas de traitement, xanax, prozac (qui m'a rendu maniaque et alcoolique, lithium, dipipéron et j'en passe...
     

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  • LE SYNDROME PARKINSONIEN, LA DYSKINESIE, LA FIBROMYALGIE, ALZHEIMER, LE SYNDROME DES JAMBES SANS REPOS, L’AKATHISIE, LA SCLEROSE EN PLAQUE, LES SYNDROMES PROLONGES DE SEVRAGE, L’INSOMNIE CHRONIQUE, LE DIABETE, LA DEMENCE, LA DEPRESSION, LA BIPOLARITE, L’AUTISME, LE CANCER, LA CASTRATION CHIMIQUE, LA NARCOLEPSIE, LE SYNDROME DE STEVENS-JOHNSON, LA MIOFACIITE A MACROPHAGE, LE TDAH, LA DYSTONIE, LA FATIGUE CHRONIQUE, LA MALADIE DE PARKINSON, LA PSYCHOSE, LES HALLUCINATIONS, LA PHOBIE SOCIALE, LES AVC, LES ACCIDENTS CARDIOVASCULAIRES, L’ALCOOLISME, LE SYNDROME SEROTONINERGIQUE, LE SYNDROME MALIN DES NEUROLEPTIQUES, L’EPILEPSIE, L’HYPERTENSION, OSTEOPOROSE… SONT DES EFFETS SECONDAIRES COURANTS DES MEDICAMENTS OU VACCINS, QUI, LE PLUS SOUVENT, NE SERVENT A RIEN

     


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